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un jour de plus home !

22 septembre 2011

Il paraît que ce serait l'automne et que les feuilles tomberaient...

morningpose

(Gavin Worth)

Pour répondre aux messages de sympathie qui arrivent et que je découvre avec plaisir, je vais bien. Je vais même très bien dans cette vie là avec deux filles qui continuent de devenir de plus en plus belles (dans le sens le plus large du terme) et un amoureux qui m'accompagne de près ou de loin un peu plus chaque jour. 

Et la vie continue son bonhomme de chemin avec de belles personnes qui contribuent aussi à me faire briller.

(Message personnel : un tabouret j'te dis, pas une chaise... ;-)))

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30 avril 2011

Pour toi mon amant

Peau contre peau, tête contre tête, dans la tiédeur du bain qui refroidit j'ai eu soudain la vision très claire d'un corps unique et cependant habité par deux.

Lui était notre respiration commune, il n'y avait plus qu'un seul rythme cardiaque calé sur nos fréquences battant en choeur, une seule peau avec deux âmes qui avaient ouvert une faille spatio-temporelle pour se rencontrer dans une sorte d'interstice global sans limites très claires. Apparemment.

Je me suis sentie flotter un instant, une éternité, à la frontière ténue entre le rêve et la conscience. Je ne saurais dire cet état mais je sais que cela m'a troublée... longtemps après. Et encore...

IMG_0803_R2

(photo home par C. et réciproquement)

Voilà où j'en suis aujourd'hui... j'exsude le bonheur par tous les pores même si parfois je suis un peu paumée à l'idée de partager une aussi belle histoire avec un homme... l'intensité ça fait battre les coeurs ça je le sais mais ça fait un peu peur aussi le soir quand je m'endors !

Je crois bien aussi que mes priorités se rédéfinissent d'elles-mêmes et que même si ailleurs l'herbe n'est pas plus verte, je vais simplement oublier home pour aller me rouler dans l'herbe, dans les champs de fleurs, dans le foin, sur le plancher, sous la couette... partout où nos corps scellent notre relation en donnant du sens à ce qui nous définit ensemble en pointillés certes mais avec une fluidité remarquable dans le tumulte de nos vies respectives...

25 avril 2011

vestige

Fouiller au fond des mes archives cachées et être soudainement émue par cette photo... comment ai-je pu passer à côté tant de fois sans la voir vraiment ?

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(photo home par B.)

21 avril 2011

Mon tout

Lovée contre lui dans ce bain, je me sens gagnée peu à peu par l'engourdissement venu de la volupté qui m'enveloppe en lenteur. Je pars vers un ailleurs et un peu plus d'un orgasme à l'autre jusqu'à jouir sans discontinuer, emportée dans un maelström de sensations né à l'épicentre exact du feu qui me consume. Je ne jouis même plus je crois, je suis LE plaisir.

Je me souviens - un instant - avoir pensé que je pourrais mourir à ce moment précis de ma vie tant je me sentais... entière.

may_baignoire_2002[Agathe May - Baignoire]

18 avril 2011

RD

Quand j'étais ado à un moment toutes mes copines avaient des photos de Robert Doisneau affichées dans leur chambre. Evidemment par soucis de ne pas faire comme les autres ou je ne sais trop quoi ou parce que ça ne m'inspirait pas à l'époque, j'avais pensé ne pas aimer le photographe. 

Grand bien m'en a pris... c'est donc avec un oeil vierge que j'ai découvert l'exposition présentant une partie de son oeuvre au Château de Malbrouck. Dans chaque salle des photos, connues, inconnues voire inédites pour certaines.

Une chose est certaine c'est que je ne regarderai plus jamais de la même manière la photo des amoureux dz l'Hôtel de Ville après le baiser que nous avons échangé devant cette image ayant le privilège d'être les derniers à faire la visite !

doisneau1

Et pour le plaisir des yeux, ma photo préférée de l'artiste...

DOISNEAU_2340_Les_Freres_Paris_1936

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14 avril 2011

six

Quand j'étais petite, j'aimais bien arracher les ailes des mouches !

[Que celui qui n'a jamais fait ça me jette la première pierre... ;-)]

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(photo home par C.)

11 avril 2011

cinq

Quand j'étais petite mes meilleures copines étaient [déjà] des garçons. 

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(photo home par C.)

8 avril 2011

quatre

Quand j'étais petite j'étais amoureuse de Geoffrey de Peyrac.

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(photo home par C.)

6 avril 2011

Voiceless

Parce qu'il arrive parfois que ce garçon me laisse sans voix. Quand il est tout contre moi, quand je regarde [le soir] les photos que j'ai faites de lui.

Alors je me tais...

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(photo home)

4 avril 2011

trois

Quand j'étais petite je rêvais d'être une célébrité. Sans rien faire ! Ouais bon ça va... ;-)

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(photo home par C.)

1 avril 2011

deux

Quand j'étais petite j'étais un vrai tyran... ;-) Ceci explique cela.

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(photo home par C.)

30 mars 2011

un

Quand j'étais petite je voulais être majorette. Mes parents n'ont jamais voulu.

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(photo home par C.)

28 mars 2011

Un point c'est tout

C'est dans mille et un petits détails que l'autre nous touche... un regard, une voix, un geste... par son altérité, dans sa singularité. Et il suffit de pas grand chose... juste un point. Là.

 

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(photo home)

25 mars 2011

La toile et le pinceau

La calligraphie est, étymologiquement, l'art de bien former les caractères d'écriture. Ce mot provient des radicaux grecs κάλος (kálos, « beau ») et γραφεĩν (grapheîn, « écrire »). Presque toutes les civilisations qui pratiquent l'écriture ont développé un art de la calligraphie. Toutefois, certaines d'entre elles l'ont élevé à un statut spécial en fonction des contextes historiques ou philosophiques particuliers.(Source Wikipédia)

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(photo home par C.)

22 mars 2011

A la plonge...

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(Michel JOURNIAC - 24 heures de la vie d'une femme ordinaire)

Sortir des toilettes des filles et le voir dans le couloir. Le prendre simplement par la main et l'entraîner avec moi. Dans le noir, goûter sa bouche, descendre son pantalon avant de me retourner devant lui, jupe relevée. Sentir son sexe s'enfoncer d'un seul coup dans le mien et me laisser emporter par une étreinte clandestine au son des entrechocs de la vaisselle qu'on lave dans la cuisine du restaurant. Juste à côté. Puis très vite, jouir dans un cri muet, à peine un souffle. 

Retourner s'asseoir à notre table comme si de rien n'était. Et apprécier avec malice le commentaire du serveur qui lui a dit quand nous sommes partis "bon courage !" 

18 mars 2011

la crymale

je pleure. je pleure parce qu'un homme me touche. je pleure parce qu'un homme me touche tout en subtilité de ses sourires à mes silences, de ses baisers à ma peau, de ses doigts à mes frissons, de ses yeux à mes rires, de sa langue à mes orgasmes, de sa bouche à mon oreille, de son sexe à ma bouche, de son corps à mes mains, de sa queue à mon antre... je pleure sur ses perles de mots qui tombent dans ma boîte mail comme autant de grains d'émoi qui ont l'art de me faire chavirer un peu plus... chaque fois. je pleure et c'est nouveau pour moi d'accepter que mon émotion tant de fois ravalée s'écoule en gouttes d'eau salée le long de mes joues.

je pleure.

je.

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(photo home par C.)

16 mars 2011

Arrosoir, nom maculin (d'ailleurs ça se voit)

Je ne sais pas de qui c'est mais j'adore !

arrosoir

(photo du net)

14 mars 2011

FLPC

Récemment, j'ai entériné la création du Front de Libération des Portes Cochères. Tout ça parce que dans une ville de plus de 120 000 habitants il n'y a pas moyen de se faufiler derrière une porte cochère [elles sont toutes verrouillées, digicodées] pour offrir à la va-vite ma sensualité à quelque garçon au sourire charmant.

Je pense que c'est un véritable scandale !

J'implore activement votre soutien... ;-) 

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(photo du net)

11 mars 2011

Et si les heures ressemblaient à des minutes...

Je n'ai pas de montre. Une bonne observation alentour me suffit amplement pour savoir l'heure qu'il est. A quelques minutes près. Et c'est très bien comme ça.

Et là bizarrement je perds la notion du temps ! Dans ses bras les durées s'effilochent, s'étirent comme en apesanteur. Je me trouve complètement décalée, étrangère dans ma propre perception temporelle... de plusieurs heures parfois au coeur même de la nuit. Je perds, aux côtés du garçon au sourire charmant, tous mes repéres liés au temps qui passe, mon horloge interne (se) joue (de moi) en mode clepsydre déglinguée.

C'est à un moment précis d'une de ces failles spatio-temporelles que je me suis dis que j'avais l'impression de faire l'amour pour la première fois...

 

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(photo home par home)

7 mars 2011

Condensation

On s'était dit, par la force des choses, que nous serions sages dans cette ville située à mi-chemin d'où nous habitons.

Puis nos baisers sur un banc du parc sous les yeux des passants indifférents, amusés, voyeurs ou carrément moqueurs pour les ados ! Des baisers comme des promesses faites aux mains qui ont la permission de se faufiler sous les manteaux pour toucher un morceau de nos peaux. Et comme j'aime les baisers, jouer avec sa bouche, ses lèvres, sa langue... mais je m'égare.

Puis nos étreintes dans la voiture en plein jour dans une rue passante. Oublier la pudeur et l'inconfort l'espace d'un moment. Se fondre en lui, juste oublier le monde du dehors et goûter de nouveau sa peau. Encore. Et encore...

Puis faire le chemin inverse pour rentrer dans mon chez moi avec son odeur au creux des mains, et un [très] grand sourire aux lèvres.

"Viens, viens

Viens-moi on refera le ciel

J'te promets pas

Monts et merveilles

Juste passer des nuits blanches..."

                                 Melissmell

 

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(photo home par home)

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